Je t'aime mais je te hais.
La journée, je gère à peu près. Je souffle le chaud et le froid. Certains jours je n'ai pas envie de te parler, je t'envoie bouler, chacun de tes gestes me hérisse le poil, je te mordrais si je m'écoutais. A d'autres, on plaisante un peu, on discute, mais ton sourire est du poison pour moi.
La nuit je rêve, de toi, de nous. Et le réveil se fait alors dans les larmes et la douleur.
Aujourd'hui je réalise que tu es un Connard. Oui avec un grand C. Tu m'as quittée parce que tu es égoïste. En 4 ans, tu n'as jamais pensé qu'à toi. C'était toujours toi avant tout, toi avant nous. Chacune de tes décisions, tu les as toujours prises pour toi.
L'amour, c'est savoir fait passer l'autre avant soi, on m'a dit ça il n'y a pas très longtemps. Je comprends donc que, malgré les apparences, tu ne m'as jamais aimé. Tu as aimé le reflet que tu avais de toi dans mes yeux, très probablement, mais pas moi. Parce que tu ne m'a jamais fais passer en première. Tu n'a jamais fais quelque chose de désintéressé pour moi.
Cela fait 2 mois maintenant que tu as pris ta décision. Et tu vas bien, tu es heureux, heureux d'être libre, heureux de ne pas avoir de comptes à rendre. Moi je souffre à en crever, je fais ce que je peux pour faire bonne figure. J'attends le déménagement avec impatience.
Tu veux qu'on soit amis, mon Connard. Mais sache que c'est impossible. J'ai trop de haine envers toi, trop de rancoeur. Pour tourner la page, j'ai besoin de rayer ton visage de ma mémoire. Une fois que nous aurons quitté cet appartement, je veux que tu quittes ma tête et mon coeur. Je veux t'oublier, ne plus jamais entendre parler de toi. Oublier que j'ai donné 4 ans de ma vie à quelqu'un pour qui je ne comptais pas.
Je dis pas que tu l'as fais exprès. T'es un Connard, mais un peu sans le vouloir. Je doute pas que t'y as cru, que tu m'aimais. T'es tellement influençable, ça ne m'étonnes pas tant que ça que tu te sois approprié mes sentiments.
Moi je me suis accrochée, en me disant que cet égoïsme, il finirait par passer. Que le toi deviendrait nous. T'es un Connard parce que tu m'as fais perdre mon temps, t'as bien pris le temps de t'approprier tout mon coeur pour ensuite le détruire de l'intérieur.
J'ai plus confiance. Ni en moi, ni en les autres. Je fais genre comme ça, je tiens debout grâce à ma colère, mais j'te jure que je suis comme une merde à l'intérieur.
La journée, je gère à peu près. Je souffle le chaud et le froid. Certains jours je n'ai pas envie de te parler, je t'envoie bouler, chacun de tes gestes me hérisse le poil, je te mordrais si je m'écoutais. A d'autres, on plaisante un peu, on discute, mais ton sourire est du poison pour moi.
La nuit je rêve, de toi, de nous. Et le réveil se fait alors dans les larmes et la douleur.
Aujourd'hui je réalise que tu es un Connard. Oui avec un grand C. Tu m'as quittée parce que tu es égoïste. En 4 ans, tu n'as jamais pensé qu'à toi. C'était toujours toi avant tout, toi avant nous. Chacune de tes décisions, tu les as toujours prises pour toi.
L'amour, c'est savoir fait passer l'autre avant soi, on m'a dit ça il n'y a pas très longtemps. Je comprends donc que, malgré les apparences, tu ne m'as jamais aimé. Tu as aimé le reflet que tu avais de toi dans mes yeux, très probablement, mais pas moi. Parce que tu ne m'a jamais fais passer en première. Tu n'a jamais fais quelque chose de désintéressé pour moi.
Cela fait 2 mois maintenant que tu as pris ta décision. Et tu vas bien, tu es heureux, heureux d'être libre, heureux de ne pas avoir de comptes à rendre. Moi je souffre à en crever, je fais ce que je peux pour faire bonne figure. J'attends le déménagement avec impatience.
Tu veux qu'on soit amis, mon Connard. Mais sache que c'est impossible. J'ai trop de haine envers toi, trop de rancoeur. Pour tourner la page, j'ai besoin de rayer ton visage de ma mémoire. Une fois que nous aurons quitté cet appartement, je veux que tu quittes ma tête et mon coeur. Je veux t'oublier, ne plus jamais entendre parler de toi. Oublier que j'ai donné 4 ans de ma vie à quelqu'un pour qui je ne comptais pas.
Je dis pas que tu l'as fais exprès. T'es un Connard, mais un peu sans le vouloir. Je doute pas que t'y as cru, que tu m'aimais. T'es tellement influençable, ça ne m'étonnes pas tant que ça que tu te sois approprié mes sentiments.
Moi je me suis accrochée, en me disant que cet égoïsme, il finirait par passer. Que le toi deviendrait nous. T'es un Connard parce que tu m'as fais perdre mon temps, t'as bien pris le temps de t'approprier tout mon coeur pour ensuite le détruire de l'intérieur.
J'ai plus confiance. Ni en moi, ni en les autres. Je fais genre comme ça, je tiens debout grâce à ma colère, mais j'te jure que je suis comme une merde à l'intérieur.