Serait-il possible que l'amour soit comme une sorte de cancer ? Peut-on mourir de trop aimer ?
Je pense que, pour toute personne qui me connaît, vous le savez, je suis un être d'amour. Je suis une personne qui est faite pour aimer.
Je suis quelqu'un qui, en toute circonstance, prône l'amour. Pour moi, l'amour est plus important et plus fort que tout. Je parle de l'amour en général. Envers sa moitié, ses amis, sa famille. Sans amour, il n'y a pas de sens à la vie.
Mais à toujours vouloir aimer sans retenue, sans limite, sans protection, on finit par se brûler les ailes... Et... je ne sais pas. Dans les bons moments, ou même dans les moments un peu difficiles, je me dis que le jeu en vaut la chandelle. Que pour aimer sincèrement, il faut accepter de souffrir, parfois.
Mais dans des moments comme maintenant, quand j'essuie la 4ème rupture difficile en un an, je finis par me poser la question.
Ne vaudrait-il pas mieux une vie plus lisse ? Sans passion, sans amour ardent, mais aussi destructeur ?
Je n'ai pas envie d'être un robot, ce n'est pas moi. Mais je n'en peux plus de passer mon temps à me rafistoler au sparadrap. Les "tu en ressortiras plus forte" ou "au final tu ne retiendras que les bons souvenirs", je peux plus.
Et pourtant, être toute seule, je ne sais pas faire. Ca m'effraie, ça m'angoisse. Ca me terrifie, me pétrifie. Je ne suis pas une personne qui sait vivre seule. J'ai besoin d'aimer, de partager pour me sentir exister.
Alors oui, je sais, être toute seule me fera du bien. Ca m'apprendra à vivre pour moi, sans contrainte, sans sacrifice, sans personne pour me faire mal.
Mais du coup, je suis perdue. Perdue entre qui je suis, qui je veux être. Ce que je veux et ce qui est bon pour moi. Ce que je veux faire et ce qu'il faudrait faire.
J'ai le coeur en miettes et le cerveau vide.
Je pense que, pour toute personne qui me connaît, vous le savez, je suis un être d'amour. Je suis une personne qui est faite pour aimer.
Je suis quelqu'un qui, en toute circonstance, prône l'amour. Pour moi, l'amour est plus important et plus fort que tout. Je parle de l'amour en général. Envers sa moitié, ses amis, sa famille. Sans amour, il n'y a pas de sens à la vie.
Mais à toujours vouloir aimer sans retenue, sans limite, sans protection, on finit par se brûler les ailes... Et... je ne sais pas. Dans les bons moments, ou même dans les moments un peu difficiles, je me dis que le jeu en vaut la chandelle. Que pour aimer sincèrement, il faut accepter de souffrir, parfois.
Mais dans des moments comme maintenant, quand j'essuie la 4ème rupture difficile en un an, je finis par me poser la question.
Ne vaudrait-il pas mieux une vie plus lisse ? Sans passion, sans amour ardent, mais aussi destructeur ?
Je n'ai pas envie d'être un robot, ce n'est pas moi. Mais je n'en peux plus de passer mon temps à me rafistoler au sparadrap. Les "tu en ressortiras plus forte" ou "au final tu ne retiendras que les bons souvenirs", je peux plus.
Et pourtant, être toute seule, je ne sais pas faire. Ca m'effraie, ça m'angoisse. Ca me terrifie, me pétrifie. Je ne suis pas une personne qui sait vivre seule. J'ai besoin d'aimer, de partager pour me sentir exister.
Alors oui, je sais, être toute seule me fera du bien. Ca m'apprendra à vivre pour moi, sans contrainte, sans sacrifice, sans personne pour me faire mal.
Mais du coup, je suis perdue. Perdue entre qui je suis, qui je veux être. Ce que je veux et ce qui est bon pour moi. Ce que je veux faire et ce qu'il faudrait faire.
J'ai le coeur en miettes et le cerveau vide.