En ce moment, c'est difficile. Je ne suis pas bien dans ma peau, pas bien dans ma tête, pas bien dans mon boulot.
J'ai l'impression générale d'être une sous-merde, que ma vie part en live et que je ne peux rien faire pour l'empêcher.
Je n'arrive pas à gérer mon argent, je n'arrive plus à mettre de côté.
Sentimentalement, je suis seule. Ce n'est pas un mal en soi, mais quand tout ton entourage autour de toi construit sa vie, à 2, c'est difficile de se sentir à la traîne... et surtout, la solitude est douloureuse.
Amicalement, en ce moment, c'est prise de tête sur prise de tête. Quoique je fasse, quoique je dise, les choses se retournent contre moi.
J'essaie de faire de mon mieux pourtant. Mais c'est peut-être ça le problème. A vouloir tout faire pour que tout le monde aille bien, pour bien s'entendre avec tout le monde, on finit par y perdre son identité.
Ce que je fais est mal interprété, je vis ça comme un échec, comme une trahison. On m'en veut, et tout ce que j'ai envie de hurler c'est "non mais sérieux, avec tout ce que je fais pour vous, comment vous pouvez me prêter des intentions pareilles ?!".
L'interprétation, mon fléau. Quand je me donne à fond dans mon travail, je suis une arriviste. Quand je suis amicale et chaleureuse, je deviens une aguicheuse. Au final, tout le monde se méfie de moi alors que je suis la personne la plus franche, honnête et transparente qui soit.
Plus on dit les choses, plus les gens imaginent que vous avez une arrière-pensée.
J'ai cette obsession du contrôle. Que tout aille comme je l'ai décidé. Que ma arrière se passe bien, que tous mon entourage aille bien, grâce à moi, et que tout le monde me voit exactement comme je me vois.
Sauf qu'évidemment, ce n'est pas possible. Et quand cette vérité me frappe en plein visage, je n'ai qu'une envie : contrôler encore plus.
La seule chose que l'on contrôle, c'est son corps. Cette enveloppe de chair, à qui on peut choisir de faire du bien ou du mal.
On peut réduire mon coeur, mon moral et mon estime de moi en charpie. Mais je suis la seule à avoir le contrôle de mon corps.
J'ai l'impression générale d'être une sous-merde, que ma vie part en live et que je ne peux rien faire pour l'empêcher.
Je n'arrive pas à gérer mon argent, je n'arrive plus à mettre de côté.
Sentimentalement, je suis seule. Ce n'est pas un mal en soi, mais quand tout ton entourage autour de toi construit sa vie, à 2, c'est difficile de se sentir à la traîne... et surtout, la solitude est douloureuse.
Amicalement, en ce moment, c'est prise de tête sur prise de tête. Quoique je fasse, quoique je dise, les choses se retournent contre moi.
J'essaie de faire de mon mieux pourtant. Mais c'est peut-être ça le problème. A vouloir tout faire pour que tout le monde aille bien, pour bien s'entendre avec tout le monde, on finit par y perdre son identité.
Ce que je fais est mal interprété, je vis ça comme un échec, comme une trahison. On m'en veut, et tout ce que j'ai envie de hurler c'est "non mais sérieux, avec tout ce que je fais pour vous, comment vous pouvez me prêter des intentions pareilles ?!".
L'interprétation, mon fléau. Quand je me donne à fond dans mon travail, je suis une arriviste. Quand je suis amicale et chaleureuse, je deviens une aguicheuse. Au final, tout le monde se méfie de moi alors que je suis la personne la plus franche, honnête et transparente qui soit.
Plus on dit les choses, plus les gens imaginent que vous avez une arrière-pensée.
J'ai cette obsession du contrôle. Que tout aille comme je l'ai décidé. Que ma arrière se passe bien, que tous mon entourage aille bien, grâce à moi, et que tout le monde me voit exactement comme je me vois.
Sauf qu'évidemment, ce n'est pas possible. Et quand cette vérité me frappe en plein visage, je n'ai qu'une envie : contrôler encore plus.
La seule chose que l'on contrôle, c'est son corps. Cette enveloppe de chair, à qui on peut choisir de faire du bien ou du mal.
On peut réduire mon coeur, mon moral et mon estime de moi en charpie. Mais je suis la seule à avoir le contrôle de mon corps.