Surtout que ma semaine de vacances avec mon chéri, était une vraie semaine de rêve. Je ne m'attendais pas à ce que ça se passe aussi bien. Cela ne fait que quelques mois ensemble, être collés 24/24h ensemble comme ça pendant une semaine... c'était une prise de risque.
Mais en fait, aucune tension, aucune dispute, tout s'est très bien passé. Alors forcément, cela me fait extrêmement plaisir. On a dépensé beaucoup trop d'argent (en resto notamment), mais tant pis.
La reprise sera difficile, après cette semaine de rêve. Je pense m'inscrire dans une salle de sport. Ma meilleure amie est extrêmement sportive et j'avoue que voir les résultats sur son corps me rendent un peu jalouse. Vous le savez, je n'ai clairement pas besoin de perdre de poids, au contraire. Mais j'aimerais bien être un peu plus endurante, ne pas respirer comme un boeuf dès que je monte des escaliers, et puis être un peu plus tonique... sortir avec un cuistot m'a fait prendre quelques kilos, et j'en suis très contente, mais ça m'a aussi fait découvrir que les kilos qu'on prend, ben ils ne vont pas tous dans les boobs hein ;).
Ma vie est plus saine maintenant, sur le plan amical, amoureux... il semble logique qu'après avoir retrouvé un bon équilibre en terme de psychisme et de vie personnelle, j'ai envie d'étendre cela à mon corps. C'est pourquoi en plus du sport que je compte reprendre très prochainement, j'ai attaqué il y a un peu plus d'un mois un régime flexitarien.
Comme je ne me sens pour l'instant pas capable de devenir végane ou même végétarienne, le régime flexitarien me permet de conserver la viande à hauteur de 2 fois par semaine. Pour moi qui mangeait de la viande à absolument tous les repas, c'est déjà un sacré changement, mais je suis très contente d'avoir franchi le pas. Je me sens beaucoup mieux et j'espère que je réussirai à conserver ces habitudes alimentaires sur le long terme.
Et vous alors, votre été ? :)
Un chat à plumes
Vendredi 9 septembre 16 à 12:41
Lundi, c'est le retour au boulot. Pffff. Après 3 semaines de vacances, j'vous assure que j'ai pas envie.
Lundi 1er août 16 à 11:28
Ah ben oui vous avez raison de me fâcher, ça fait longtemps que je n'ai pas écrit ! Pardon pardon !
Il faut dire que je fais partie de ces personnes qui n'écrivent que lorsque ça ne va pas... et en ce moment, tout va pour le mieux :)
J'ai accompli une des tâches de ma liste : pour le nouveau tatouage, c'est fait !
Pour le voyage, ce ne sera pas avant l'année prochaine, au mieux. Et pour ce qui est de devenir propriétaire, je repousse ce projet pour l'instant. Pourquoi ? Parce que maintenant je ne suis plus toute seule... du coup, ce n'est plus dans mes priorités.
Je profite. Je suis heureuse. Je peux même le dire : amoureuse. D'une personne saine, qui m'aime en retour, qui ne me cache pas, qui est heureuse d'être avec moi. Avec qui je ne passe que de bons moments.
Les vacances arrivent, fin août... que cela me semble loin ! On ne sait pas où on part, mais on part, tous les 2. On verra bien.
Je vais bien. Aucune ombre au tableau.
Il faut dire que je fais partie de ces personnes qui n'écrivent que lorsque ça ne va pas... et en ce moment, tout va pour le mieux :)
J'ai accompli une des tâches de ma liste : pour le nouveau tatouage, c'est fait !
Pour le voyage, ce ne sera pas avant l'année prochaine, au mieux. Et pour ce qui est de devenir propriétaire, je repousse ce projet pour l'instant. Pourquoi ? Parce que maintenant je ne suis plus toute seule... du coup, ce n'est plus dans mes priorités.
Je profite. Je suis heureuse. Je peux même le dire : amoureuse. D'une personne saine, qui m'aime en retour, qui ne me cache pas, qui est heureuse d'être avec moi. Avec qui je ne passe que de bons moments.
Les vacances arrivent, fin août... que cela me semble loin ! On ne sait pas où on part, mais on part, tous les 2. On verra bien.
Je vais bien. Aucune ombre au tableau.
Samedi 16 avril 16 à 13:46
En janvier, je vous racontais à quel point l'année 2016 avait mal commencé pour moi. Je souffrais beaucoup, piégée dans des histoires malsaines. J'ai pris une décision relativement lourde, couper les ponts avec tout un groupe de personnes dont j'étais très proche.
Après environ 3 mois, quel est le résultat ? C'était le moment idéal pour faire cet article, suite à la "technique" de relativisation dont je vous avais parlé dans cet article.
Je me sens bien. Une citation dit "Avant de vous sous-estimer, de faire une dépression, ou de vous remettre en question, assurez-vous quand même que vous n'êtes pas tout simplement entouré de cons ! "
Alors je ne me permettrais pas de dire que j'étais entourée de cons, parce que ce n'était pas le cas. Néanmoins, j'étais entourée de personnes qui restent constamment ensemble, qui partagent tout leur temps libre et qui ne se cachent rien. Le problème dans ce genre de situation, c'est que tu n'as plus droit à une vie privée, et que tous tes problèmes privés deviennent publics. Cela leur convient, ils sont heureux comme ça, et tant mieux pour eux. Mais finalement, pour ma part, je me suis acharnée dans un mode de vie qui n'était pas le mien.
Il y a aussi parfois des relations qui sont de véritables poisons. Dans un sens, comme dans l'autre. On s'aime, on se déteste. L'amour et la haine ne sont pas si éloignés, et parfois, il y a des personnes avec qui on a une relation tellement fusionnelle qu'on ne peut que finir par se détruire mutuellement. Et même si c'est terriblement difficile, il vaut mieux couper les ponts, parce que ce genre de relation ne peut rien apporter de bon ou de sain.
Je ne dis pas que je suis parfaite, loin de là ! J'ai fait des choix, de mauvais choix, des erreurs. Si je pouvais revenir en arrière, il est certain que je changerais beaucoup de choses. Sauf que ce n'est pas possible, malheureusement. Alors il faut assumer ses décisions, difficilement parfois, et aller de l'avant. Ce que j'ai fait.
Maintenant que tout ça est derrière moi, comment je me sens ? Très bien. Depuis 3 mois, j'ai une vie saine, sereine, reposante. Presque ennuyeuse parfois. Mais après un an de vie en communauté constante, ça me va bien. Mes semaines sont plus calmes, je me concentre sur mon travail, que j'adore. Le week-end est consacré à mes amis et à ma famille. J'ai en quelques sorte choisi la qualité à la quantité. Moins de sorties, mais dont je profite du coup bien davantage et qui me reboostent le moral et l'énergie. Cela me permet aussi d'y consacrer un budget plus sympa.
J'en ai terminé avec les antidépresseurs et la thérapie depuis le voyage au Cap Vert. Ne plus être perpétuellement dans les conflits (certains provoqués par mes actes je ne le nie pas !) me met du soleil plein la tête.
Je suis heureuse. Je vais bien. Je suis satisfaite de ma vie, de mes amis, de ma famille, de mon travail. En plus, le printemps pointe progressivement le bout de son nez, ce qui me gonfle à bloc.
Voilà. Tout va bien sous le soleil. Mes objectifs à moyen terme (1 à 2 ans on va dire) : un nouveau tatouage, un voyage en Grèce, et devenir propriétaire. Y'a plus qu'à.
Après environ 3 mois, quel est le résultat ? C'était le moment idéal pour faire cet article, suite à la "technique" de relativisation dont je vous avais parlé dans cet article.
Je me sens bien. Une citation dit "Avant de vous sous-estimer, de faire une dépression, ou de vous remettre en question, assurez-vous quand même que vous n'êtes pas tout simplement entouré de cons ! "
Alors je ne me permettrais pas de dire que j'étais entourée de cons, parce que ce n'était pas le cas. Néanmoins, j'étais entourée de personnes qui restent constamment ensemble, qui partagent tout leur temps libre et qui ne se cachent rien. Le problème dans ce genre de situation, c'est que tu n'as plus droit à une vie privée, et que tous tes problèmes privés deviennent publics. Cela leur convient, ils sont heureux comme ça, et tant mieux pour eux. Mais finalement, pour ma part, je me suis acharnée dans un mode de vie qui n'était pas le mien.
Il y a aussi parfois des relations qui sont de véritables poisons. Dans un sens, comme dans l'autre. On s'aime, on se déteste. L'amour et la haine ne sont pas si éloignés, et parfois, il y a des personnes avec qui on a une relation tellement fusionnelle qu'on ne peut que finir par se détruire mutuellement. Et même si c'est terriblement difficile, il vaut mieux couper les ponts, parce que ce genre de relation ne peut rien apporter de bon ou de sain.
Je ne dis pas que je suis parfaite, loin de là ! J'ai fait des choix, de mauvais choix, des erreurs. Si je pouvais revenir en arrière, il est certain que je changerais beaucoup de choses. Sauf que ce n'est pas possible, malheureusement. Alors il faut assumer ses décisions, difficilement parfois, et aller de l'avant. Ce que j'ai fait.
Maintenant que tout ça est derrière moi, comment je me sens ? Très bien. Depuis 3 mois, j'ai une vie saine, sereine, reposante. Presque ennuyeuse parfois. Mais après un an de vie en communauté constante, ça me va bien. Mes semaines sont plus calmes, je me concentre sur mon travail, que j'adore. Le week-end est consacré à mes amis et à ma famille. J'ai en quelques sorte choisi la qualité à la quantité. Moins de sorties, mais dont je profite du coup bien davantage et qui me reboostent le moral et l'énergie. Cela me permet aussi d'y consacrer un budget plus sympa.
J'en ai terminé avec les antidépresseurs et la thérapie depuis le voyage au Cap Vert. Ne plus être perpétuellement dans les conflits (certains provoqués par mes actes je ne le nie pas !) me met du soleil plein la tête.
Je suis heureuse. Je vais bien. Je suis satisfaite de ma vie, de mes amis, de ma famille, de mon travail. En plus, le printemps pointe progressivement le bout de son nez, ce qui me gonfle à bloc.
Voilà. Tout va bien sous le soleil. Mes objectifs à moyen terme (1 à 2 ans on va dire) : un nouveau tatouage, un voyage en Grèce, et devenir propriétaire. Y'a plus qu'à.
Mardi 5 avril 16 à 20:13
Et pourquoi devrais-je avoir des enfants ?
Cette question, je me la pose souvent ces derniers temps. Pression des médias, pression de la vie, les femmes de mon entourage, amies, famille, collègues passent tour à tour par la maternité et je ressens ce "A quand ton tour ?".
Quand je me retrouve dans la même pièce qu'un bébé ou qu'un enfant, on s'attend à ce que je sois attendrie, sous le charme. "Tu veux le porter ? Lui donner son biberon ?". Non, non, je ne veux pas. Je ne veux pas le porter, je ne veux pas le nourrir, si tu voulais pas t'occuper de ton gosse fallait pas en faire lààààà !
Je ne ressens aucun instinct maternel. Aucune envie d'avoir un bambin, d'avoir le ventre rond comme un ballon durant 9 mois.
Mais dans notre société actuelle, on part du principe que, forcément, tu es une femme, alors tu aimes les enfants. Tu es une femme donc tu t'extasies devant les bébés. Tu es une femme donc forcément tu as toujours rêvé de devenir mère, d'avoir des enfants. Tu es une femme donc forcément, à 25 ans, tu meurs d'envie de faire un bébé.
Non. Non j'ai jamais eu l'envie d'être mère. Je le serai peut-être, un jour, on ne sait jamais. Mais actuellement, je me dis que je me vois très bien faire ma vie entière sans jamais avoir d'enfant. Cela ne me dérangerait pas. J'ai envie de faire plein de choses, j'ai des tas de projets, mais être mère n'en fait pas partie.
Je me demande sérieusement si je ne suis pas bizarre ? Est-ce que j'ai un gène défaillant ? Je me sens tellement seule dans cette optique. On me dit que je ne suis "pas normale", que "toutes les femmes aiment les bébés", que "tout le monde a envie de fonder une famille".
Non, désolée, fonder une famille n'est pas un objectif universel. Non, moi je veux voyager, faire un métier que j'aime, avoir une belle carrière, passer du temps avec mes amis, trouver un super chéri éventuellement... mais avoir des enfants, ça ne me fais pas rêver.
Quand je me retrouve dans la même pièce qu'un bébé ou qu'un enfant, on s'attend à ce que je sois attendrie, sous le charme. "Tu veux le porter ? Lui donner son biberon ?". Non, non, je ne veux pas. Je ne veux pas le porter, je ne veux pas le nourrir, si tu voulais pas t'occuper de ton gosse fallait pas en faire lààààà !
Je ne ressens aucun instinct maternel. Aucune envie d'avoir un bambin, d'avoir le ventre rond comme un ballon durant 9 mois.
Mais dans notre société actuelle, on part du principe que, forcément, tu es une femme, alors tu aimes les enfants. Tu es une femme donc tu t'extasies devant les bébés. Tu es une femme donc forcément tu as toujours rêvé de devenir mère, d'avoir des enfants. Tu es une femme donc forcément, à 25 ans, tu meurs d'envie de faire un bébé.
Non. Non j'ai jamais eu l'envie d'être mère. Je le serai peut-être, un jour, on ne sait jamais. Mais actuellement, je me dis que je me vois très bien faire ma vie entière sans jamais avoir d'enfant. Cela ne me dérangerait pas. J'ai envie de faire plein de choses, j'ai des tas de projets, mais être mère n'en fait pas partie.
Je me demande sérieusement si je ne suis pas bizarre ? Est-ce que j'ai un gène défaillant ? Je me sens tellement seule dans cette optique. On me dit que je ne suis "pas normale", que "toutes les femmes aiment les bébés", que "tout le monde a envie de fonder une famille".
Non, désolée, fonder une famille n'est pas un objectif universel. Non, moi je veux voyager, faire un métier que j'aime, avoir une belle carrière, passer du temps avec mes amis, trouver un super chéri éventuellement... mais avoir des enfants, ça ne me fais pas rêver.
Voilà, je ressentais le besoin de m'exprimer sur ça, parce que ça me travaille en ce moment. Je ne veux pas d'enfant, et alors ?
Lundi 21 mars 16 à 13:44
Une semaine de vacances de rêve...
Je découvre le plaisir de voyager, de découvrir des paysages différents... je n'avais jamais éprouvé cette envie jusqu'à maintenant, et je suis très heureuse d'avoir sauté le pas.
J'ai pris la décision de tenter de faire au moins un voyage par an désormais. Suite à mes discussions avec mes collègues, la Grèce et la Chypre me tentent particulièrement.
Je ne vais pas vous faire de grands discours. Pour moi, un voyage, des vacances, ça se vit, ça ne se raconte pas. Je me suis reposée. Je suis bien. Je me sens bien.
Enfin non, à cause du choc des températures, je suis malade, j'ai chopé la crève. Mais c'est pas grave, j'ai du soleil plein la tête.
Je découvre le plaisir de voyager, de découvrir des paysages différents... je n'avais jamais éprouvé cette envie jusqu'à maintenant, et je suis très heureuse d'avoir sauté le pas.
J'ai pris la décision de tenter de faire au moins un voyage par an désormais. Suite à mes discussions avec mes collègues, la Grèce et la Chypre me tentent particulièrement.
Je ne vais pas vous faire de grands discours. Pour moi, un voyage, des vacances, ça se vit, ça ne se raconte pas. Je me suis reposée. Je suis bien. Je me sens bien.
Enfin non, à cause du choc des températures, je suis malade, j'ai chopé la crève. Mais c'est pas grave, j'ai du soleil plein la tête.
<< Du neuf...